Dans l’immobilier locatif, beaucoup de propriétaires pensent qu’ils gèrent “correctement” leur bien. Ils répondent aux messages, entretiennent quand c’est nécessaire, fixent un loyer en regardant quelques annonces similaires, publient une annonce qu’ils jugent correcte, choisissent un locataire qui “semble bien”.
À première vue, cette gestion paraît logique et intuitive. Elle donne l’impression d’être naturelle, spontanée, suffisamment raisonnable.
Mais cette méthode a un nom : la gestion au feeling.
Et la gestion au feeling est le premier frein à la rentabilité.
Pourquoi ?
Parce que l’immobilier n’est pas un domaine où l’intuition est un guide fiable. C’est un domaine où tout se joue sur les chiffres, les méthodes, l’anticipation, les procédures et la stratégie. Deux biens identiques peuvent produire des résultats totalement différents selon l’approche utilisée.
Chez Kyros, nous reprenons chaque année des biens gérés “à l’instinct”. Les propriétaires sont souvent surpris, parfois choqués, lorsqu’ils découvrent à quel point leur bien aurait pu rapporter davantage — ou tout simplement coûter moins.
La vérité est simple :
La rentabilité ne dépend pas du hasard, mais d’un pilotage précis.
Et ce pilotage commence le jour où l’on décide d’arrêter de gérer au feeling.
La gestion au feeling n’est jamais intentionnelle. Elle apparaît parce que la gestion locative semble simple. Mais la simplicité apparente cache une mécanique complexe que seul un pilotage structuré peut maîtriser.
Un propriétaire qui gère “au feeling” ne voit pas :
Sur un an, ces “petits manques” représentent souvent entre 5 % et 15 % du rendement total, parfois davantage.
Le pilote au feeling réagit.
Le pilote structuré anticipe.
Celui qui gère intuitivement :
À l’inverse, anticiper permet :
La rentabilité, c’est 80 % d’anticipation et 20 % d’exécution.
Le piège du feeling, c’est qu’il donne l’illusion de la compétence.
Si le locataire paie, si le logement est occupé, si tout semble stable…
alors “ça va”.
Mais “ça va” n’est pas “c’est rentable”.
Beaucoup de biens occupés et en apparence stables pourraient rapporter 10 à 30 % de plus avec :
Ce n’est pas parce que rien ne semble catastrophique que tout est optimisé.
Quand un propriétaire arrête de gérer au feeling, son bien se transforme littéralement. Et la rentabilité avec.
Une annonce pensée de manière professionnelle permet :
Chaque détail compte :
C’est du marketing, pas de l’instinct.
Un bien peut être :
Le feeling choisit “ce que tout le monde fait”.
Le pilotage choisit “ce qui maximise votre rendement”.
Le locataire idéal ne se reconnaît pas à son sourire ou à sa politesse.
Il se reconnaît à un dossier complet, vérifié et cohérent.
Une bonne sélection permet :
Le feeling choisit vite.
La méthode choisit bien.
Entretenir au bon moment permet :
Un appartement entretenu préventivement perd 50 % moins de rendement qu’un appartement entretenu dans l’urgence.
Un propriétaire rentable applique des routines.
Il suit des données.
Il raisonne comme un investisseur, pas comme un occupant.
Chaque mois, il mesure :
Ce pilotage transforme un bien passif en actif contrôlé.
Il sait :
Il ne modifie pas sa méthode en fonction de son humeur.
Un bien attractif ne coûte pas forcément plus cher.
Il coûte seulement plus d’attention.
La présentation fait gagner :
Parce qu’un propriétaire rentable sait que :
La délégation n’est pas une dépense.
C’est une optimisation.
Beaucoup de propriétaires pensent qu’ils gèrent bien leur bien.
Mais ils gèrent au feeling.
Et le feeling coûte cher : en temps, en stress, en locataires perdus, en vacance locative, en erreurs invisibles.
La rentabilité commence :
Chez Kyros, nous avons fait de cette approche structurée notre marque de fabrique.
Notre métier n’est pas seulement de gérer un bien, mais de piloter une rentabilité — et d’éliminer définitivement le hasard et l’approximation.
La gestion au feeling rassure.
La gestion professionnelle rapporte.
Besoin d’un accompagnement personnalisé ? Rendez-vous sur Kyros Immo pour découvrir nos services et concrétiser votre projet immobilier avec sérénité !
Amaury TARDIER – Rédacteur en chef